La FINB clôture le cycle de financement des “projets émergents” et appuie 18 projets d’investissemen

Un aspect clé de la mission de la FINB est d’appuyer la recherche dès les premières étapes. Les idées sont toujours le tremplin de l’innovation et, sans un soutien précoce, de nombreux projets qui, autrement, se transformeraient en technologies productives ou en produits commerciaux viables seraient plutôt laissés à l’abandon.

Le principal objectif du volet Projets émergents du Fonds d’innovation pour la recherche de la FINB est d’identifier ces projets potentiels et de fournir jusqu’à 25 000 $ en financement pour appuyer les travaux de recherche qui seront réalisés au cours des deux prochaines années. Le dernier cycle d’appel à des propositions a été ouvert aux chercheurs du Nouveau-Brunswick en octobre dernier et les candidats retenus ont été avisés le 17 décembre.

Au total, un financement de 404 000 $ a été accordé à 18 projets de recherche concentrés sur les campus de l’UNB Fredericton, de l’UNB Saint John, de l’Université de Moncton et de l’Université Mt. Allison. Toutes les entreprises reconnues mettent en vedette des travaux de brillants chercheurs œuvrant dans des domaines aussi disparates que la fabrication de pointe et le cannabis.

“La répartition des candidats est extrêmement diversifiée cette année”, affirme Laura Richard, directrice de la recherche à la FINB. “Ces fonds servent à soutenir les chercheurs en sciences de la vie, les ingénieurs, les chimistes et les chercheurs en sciences sociales, qui malgré la nature très différente de leurs projets, sont tous liés par une proposition de recherche appliquée prometteuse ayant un impact économique évident sur la province.

L’une des principales forces du programme de financement des projets en émergence est sa capacité de mettre en évidence l’ampleur de la recherche en cours au Nouveau-Brunswick. Les chercheurs appuyés par la FINB étudient tout, des utilisations potentielles des déchets de brasserie (Dr Xiomara Sanchez Castillo, UNB) à l’amélioration de l’efficacité des banques alimentaires par la collecte et l’analyse de données (Dr Rob Moir, UNBSJ) en passant par l’exploration des utilisations non exploitées du contenu bioactif des ruches à miel (Dr Luc Boudreau, Université de Moncton).

On ne saurait trop insister sur la capacité de la recherche à créer un bien social et économique pour les Néo-Brunswickois. La FINB est fière d’appuyer les chercheurs, les médecins et les professeurs qui, par leur imagination et leur passion inébranlable, font connaître la province. Ne soyez pas surpris si plusieurs de ces concepts de recherche prometteurs se transforment en quelque chose d’étonnant.

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